Bon Lecteur, tu le vois, je suis toujours pas présente…
Ma glycémie ne s’est toujours pas stabilisée. J’ai aussi du sucre dans les urines et de l’acetone…
Mouais la totale… et le pire c’est que j’affiche 4 kg de plus sur la balance en 15 jours oui ouiiiiiiiiiiiiii t’as bien lu 4 kilos… Du coup, a part entendre que « je dois augmenter mon débit de pompe, que je dois baisser mes glucides y’a rien qui bouge et ma prise en charge est merdique…
Du coup, demain, je me reprends, mais aujourd’hui je fais la grève du sourire, je fais la grosse déprime sous la canap-couette.. et je hurle ma rage de toutes mes forces…
J’étais si bien équilibrée jusqu’en janvier, jusqu’à ce que je vois le nouveau diabéto que je lui en veuxxxxxxxxx, alors que c’est à moi que je devrais en vouloir… et que là, le corps médical c’est même pas en photo que je peux le voir, alors qu’ils sont là pour m’aider et me soigner….
Mon déséquilibre est si grand, que je sais plus quoi faire, j’ai tout fait pour essayer de stabiliser, tout compter, bouger, ou autre… faire du correctif toujours et encore augmenter mon basal encore et encore … 4 kilos et de l’acetone… marrrreeeeeee….
Alors aujourd’hui « je râle » et surtout je suis déco depuis 20minutes… Eh oui, sans pompe, avec schéma de remplacement( insuline rapide et lente)…c’est a dire la même chose mais en injections, parce que sinon, je prends la pompe et je la jette par la fenêtre. Je suis au point de rupture et de dégout qu’il m’est impossible de la garder … pathétique hein?!
Tu dois te dire que je suis folle, que je devrais essayer de me calmer et d’agir… et je te dis « t’as raison », je suis d’accord… mais là … pffff que faire? je tourne en rond, je suis fatiguée au moindre effort et essoufflée, du coup, c’est un cercle vicieux; car je ne bouge pas, je somnole après les repas, ce qui est dangereux pour mon fils, je bois de l’eau, comme si j’étais dans le désert etc…
Le cafard le plus complet, la déprime la plus extrême… mais demain c’est le printemps … ça ira mieux …
Désolée si je te montre le mauvais côté de la maladie. Cest brutal, déstabilisant et ça continue…
